Les 22 et 23 octobre 2020
sous la direction de Marie-Odile PEYROUX-SISSOKO, Professeur de droit public (Université de Franche-Comté / CRJFP), Maria FARTUNOVA-MICHEL et Marie ROTA - Maîtres de conférences (Université de lorraine / IRENEE)


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Résumé :
La moralisation est à la mode et avec elle, la transparence qui en serait l’un des moyens. Les hommes politiques ont d’ores et déjà été soumis à des règles strictes. Mais, eux aussi détenteurs de pouvoir et de légitimité, les magistrats peuvent-ils passer au travers de ce mouvement tendant à imposer la transparence, ce d’autant plus qu’ils veillent au respect des règles imposées à l’autorité politique ?
La réponse à cette interrogation nécessite de réfléchir aux finalités de la transparence et à la culture juridique française : la transparence sert-elle vraiment la justice en améliorant son efficacité, ou la dessert-elle ? Est-elle impliquée par la démocratie ou, au contraire, vient-elle l’annihiler ? Alors qu’elle semble provenir de systèmes de common law, peut-elle être greffée à la culture juridique française ?